L’acide kojique, le nouvel actif star anti-taches

L’acide kojique, le nouvel actif star anti-taches

Longtemps éclipsé par des actifs plus populaires comme la vitamine C ou l’acide azélaïque, l’acide kojique est de plus en plus présent dans les formules ciblées anti-taches.  Issu de la fermentation du malt de riz, il agit en douceur pour atténuer les taches et prévenir leur apparition, ce qui en fait un allié idéal pour celles et ceux qui cherchent à unifier leur teint sans agresser leur peau. Décryptage d’un actif encore peu connu qui pourrait bien s’imposer comme un incontournable des routines anti-taches.

Pourquoi l’acide kojique séduit-il de plus en plus ?

 

L’acide kojique agit principalement sur la tyrosinase, une enzyme clé dans le processus de formation de la mélanine. En limitant son action, il permet de réguler l’apparition des taches pigmentaires : taches liées au soleil, au vieillissement cutané ou encore aux imperfections inflammatoires.

Contrairement à certains agents éclaircissants plus puissants, l’acide kojique offre une alternative plus douce, particulièrement adaptée aux peaux sensibles ou réactives. Il permet non seulement d’atténuer les taches déjà visibles, mais aussi de prévenir leur formation à long terme.

Une réponse aux nouveaux besoins de la peau

 

Le succès de l’acide kojique s’inscrit aussi dans une tendance de fond : celle d’une approche plus respectueuse de la peau. Face aux expositions répétées (soleil, pollution, lumière bleue) et aux changements hormonaux, la peau a besoin d’actifs à la fois ciblés, efficaces et bien tolérés.

Dans cette perspective, de nombreuses marques clean intègrent désormais l’acide kojique dans des formules combinées, souvent associées à d’autres actifs comme la niacinamide ou les AHA, pour une action renforcée sur l'éclat, sans compromis sur la sensorialité.

Acide kojique : pourquoi la protection solaire est essentielle

 

Si vous utilisez un soin contenant de l’acide kojique, l’application d’une protection solaire quotidienne est indispensable. En effet, une peau traitée avec un actif éclaircissant est plus sensible aux rayons UV. Sans protection adéquate, les effets peuvent s’inverser : les expositions solaires risquent d'accentuer l’apparence des taches pigmentaires.

C’est pourquoi il est recommandé de compléter sa routine avec un écran solaire à large spectre, même en ville, pour garantir l’efficacité de votre soin et protéger durablement l’éclat de votre peau.

En conclusion

 

Si l’acide kojique s’impose aujourd’hui comme un actif prometteur dans la lutte contre les taches pigmentaires, son efficacité dépend d’une approche rigoureuse et complète. Intégré dans une routine cohérente, associé à une protection solaire quotidienne, il peut véritablement contribuer à un teint plus uniforme et lumineux. Chez Seasonly, cette exigence guide notre manière de formuler : des soins pensés dans leur globalité, alliant actifs ciblés, gestuelle experte et régularité, pour accompagner chaque peau au quotidien.

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Des questions ?

Issu naturellement du riz fermenté ou de certains champignons, l’acide kojique est un actif éclaircissant reconnu pour son action douce mais ciblée sur la mélanine. En clair : il freine la surproduction de pigment à l’origine des taches brunes. Ni agressif comme l’hydroquinone, ni photosensibilisant comme certains AHA, il séduit les peaux en quête de lumière… sans compromis sur la douceur.

Oui, et c’est ce qui le distingue. Contrairement à certains actifs dépigmentants trop puissants, l’acide kojique agit de manière progressive, sans risque de décoloration sur les peaux mates ou foncées. Il respecte l’harmonie naturelle du teint tout en atténuant visiblement les taches liées au soleil, à l’âge ou aux marques post-acné.

Patience et régularité sont vos meilleures alliées. En général, on observe une amélioration du grain de peau et de l’éclat dès 2 à 3 semaines, mais les taches brunes s’estompent de façon plus nette après 6 à 8 semaines d’application quotidienne. C’est un actif qui travaille en finesse, pas en coup d’éclat instantané.

Oui, et c’est même conseillé pour une synergie optimale. Il fonctionne très bien avec la niacinamide, l’acide azélaïque ou la vitamine C. Mais attention à ne pas surmultiplier les actifs exfoliants pour éviter les irritations. L’idéal ? Un sérum ciblé à l’acide kojique, suivi d’un SPF rigoureux chaque matin : c’est le duo gagnant.

En général, oui — à condition de choisir une formule bien dosée et stabilisée. Contrairement à certains agents dépigmentants plus abrasifs, l’acide kojique a l’avantage de convenir à un large éventail de peaux, y compris les plus réactives. Comme toujours, on commence progressivement, et on écoute sa peau. Un effet "picotement" léger est possible au début, mais ne doit jamais virer à l’irritation.

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